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Communiqués de presse



Généalogie Abitibi-Témiscamingue
récipiendaire du prestigieux prix provincial Cyprien Tanguay 2014




Rouyn-Noranda, 6 octobre 2014
La Fédération québécoise des sociétés de généalogie (FQSG) lors du 8e Congrès provincial
qui s’est tenu à Trois-Rivières les 3, 4 et 5 octobre dernier a remis à Généalogie Abitibi-Témiscamingue
le prestigieux Cyprien Tanguay 2014. Il est reconnu comme le père de la généalogie canadienne-française.



Le Citoyen, le mercredi 2 janvier 2013
Une première en généalogie

Pas moins de 31 personnes se sont présentées aux Archives nationales du Québec le 24 novembre dans le cadre de la toute première semaine nationale de généalogie qui avait lieu du 18 au 24 novembre.

Les gens sont venus de partout en région à l'activité offerte par généalogie Abitibi-Témiscamingue le 24 novembre. Il y avait même une personne de l'Ontario selon Michel Boucher, de généalogie Abitibi-Témiscamingue. «Pour une première fois, ça représentait énormément de monde, on a été dépassé par les événements», informe-t-il.

Une conférence de Sylvain Cliche, membre à vie de l'organisme à but non lucratif et M. Boucher a été donnée aux gens présents. Les participants pouvaient en apprendre davantage sur les différents types de généalogie qu'ils pouvaient faire. Après quoi les conférenciers ont rencontré les gens individuellement ou en groupe pour les aider dans leurs recherches.

«II y a les lignées directes paternelles et maternelles et les lignées directes collatérales, c'est-à-dire l'ensemble de l'arbre généalogique. Il y a aussi des généalogies plus complexes quand on inclut les enfants», explique-t-il.

Pour sa part, M. Cliche a également procédé à une généalogie de matrilignage. «C'est la généalogie par l'ADN mitochondrial qui est transmise par les femmes et non par les hommes. En faisant une analyse scientifique, on peut obtenir le nom d'un ancêtre féminin», ajoute M. Boucher.

Pas toujours facile
«Quand on commence à faire une généalogie, on ne s'attend jamais à toute l'immensité du travail qu'il y a à faire», souligne ce dernier. Par exemple, lorsqu'une personne décide de retrouver ses ancêtres, il peul arriver que certains d'entre eux proviennent d'un autre pays. «Si l'on ne connaît pas les ancêtres dans ses autres pays, ça devient impossible de continuer.»

Pour Michel Boucher, la généalogie est une passion. «J'écoutais mes parents raconter les histoires de leurs familles et ils nommaient des noms. Ma curiosité est devenue grande lorsque j'ai entendu parler de mes arrière-arrière-grands-parents maternels. C'était des Irlandais et je me suis demandé comment ils ont fait pour venir s'établir au Canada», s'est remémoré M. Boucher.

L’organisme sans but lucratif ouvre ses portes tous les deuxièmes samedis de chaque mois pour aider les gens qui le veulent pour faire leur généalogie. C'est ouvert à tous et gratuit. Pour plus d'informations ou si vous voulez faire votre généalogie, vous pouvez consulter le www.genealogie.org ou vous rendre aux archives nationales sur la rue du Terminus et consultez d'autres sites de généalogies tout à fait gratuitement.

Krystina SAWYER * rou.redaction@quebecormedia.com
Photo Krystina Sawyer



Nathalie Béland, Noëlla Allaire, toutes deux employées de généalogie Abitibi-Témiscamingue,
ainsi que Michel Boucher, secrétaire de l'organisme.




Abitibi Express

Une mémoire unique en son genre au Canada
Même si elle figure parmi les plus jeunes régions du Québec, l'Abitibi-Témiscamingue peut se vanter d'avoir de la mémoire. Beaucoup, même. Et unique en son genre. Au point où elle fait l'envie de plusieurs autres régions, d'un océan à l'autre.

Sujets : Canada La base, Canada, Abitibi, États-Unis

Après plusieurs années de patient labeur, l'organisme Généalogie Abitibi-Témiscamingue vient de terminer une tâche colossale, soit le recensement photographique des dizaines de milliers de pierres tombales érigées dans la totalité des cimetières de la région.
«Il ne nous restait que le cimetière du lieu connu sous le nom de la Pointe-aux-Indiens/Apitipik, sur les rives du lac Abitibi. Roch Roy, qui a initié ce projet avec son épouse, vient d'en terminer les photos», indique Michel Boucher, secrétaire du conseil d'administration de l'organisme.

Unique au Canada

La base de données compilée par Généalogie Abitibi-Témiscamingue est unique en son genre au Canada à plusieurs égards.
«D'abord, nous avons recensé vraiment toutes les pierres tombales de chaque cimetière sur le territoire. Ensuite, nous avons effectué des recherches pour obtenir le nom de jeune fille de chacune des femmes afin de faciliter les liens de filiation. Enfin, au lieu de présenter un ensemble de photos, le responsable de notre site internet, Yvon Beaudoin, a monté une base de données où l'on peut rechercher par nom et par numéro. En cliquant dessus, on obtient alors la photo du monument en question, et uniquement de ce monument-là. Nous sommes les seuls à avoir procédé de la sorte», explique M. Boucher.
La démarche a séduit au point où d'autres sociétés spécialisées en généalogie et en histoire ont commencé à l'imiter un peu partout au Canada. Quant à la popularité du site internet, qu'on peut consulter au www.genealogie.org/club/genat, celle-ci ne cesse de croître, avec des visiteurs du Canada, des États-Unis et de l'Europe.

Rien de macabre

L'organisme, dont la raison d'être consiste à rendre accessible au grand public le plus de données possible pour la recherche généalogique, a aussi entrepris de compiler les avis de décès et les signets mortuaires, ces petites cartes souvenirs qu'on remet à la famille lors des funérailles. Le tout est en voie d'être numérisé pour figurer sur son site internet.
«Nos activités peuvent paraître macabres au premier coup d'oeil. Pourtant, on retrouve dans ces documents une foule d'informations utiles d'un point de vue généalogique, notamment l'année de naissance et la filiation, des éléments qui ne figurent pas toujours dans les répertoires de mariages, un des principaux outils qu'on emploie dans la recherche. C'est pour ça qu'il est important de ne pas les jeter et de nous les amener», fait valoir Michel Boucher.

Activité d'initiation

Dans le cadre de la Semaine nationale de la généalogie, dont la première édition aura lieu du 23 au 30 novembre, Généalogie Abitibi-Témiscamingue organisera, le 24 novembre, une activité d'initiation et de sensibilisation à la généalogie. Celle-ci se déroulera aux Archives nationales à Rouyn-Noranda (27, rue du Terminus Ouest). C'est gratuit, mais il faut réserver au 819-763-3484.

www.AbitibiExpress.ca
Abitibi Express - Le 20 novembre 2012



LE P'TiT Journal de Malartic

Généalogie Abitibi-Témiscamingue
Projets pour faciliter la recherche
Par
Louise Leboeuf


L'organisme à but non lucratif, Généalogie Abitibi- Témiscamingue multiplie ses moyens pour faciliter la recherche à tous les amateurs de généalogie.

Fondée en 1995, Généalogie Abitibi-Témiscamingue compile les données et les rend disponibles gratuitement sur son site Internet. Géré par une équipe de bénévoles, l'organisme a réussi à recueillir des données importantes en compilant tous les avis nécrologiques des journaux de la région. Leur deuxième projet a été de photographier les pierres tombales des cimetières de la région.» C'est impressionnant les informations sur les familles que l'on retrouve sur les pierres tombales. Grâce à de dévoués bénévoles, notre organisme a archivé une source importante d'informations», soutient Michel Boucher, secrétaire de Généalogie Abitibi-Témiscamingue.

Monsieur Boucher est un enseignant retraité et un passionné de la recherche. Il a pris connaissance de l'existence du P'TiT Journal de Malartic par les Archives nationales. «Le P'TiT Journal regorge d'informations. Je suis bien impressionné», complimente monsieur Boucher. Une copie de chacun des exemplaires a été remise à son organisme. Alexandre Millier-Boucher, rédacteur de la chronique En route vers le 75e anniversaire de Malartic, effectue pour l'organisme, la transcription de certains documents appartenant à la Société d'Histoire de Malartic.

Le troisième projet de Généalogie Abitibi-Témiscamingue est de répertorier le plus grand nombre possible de cartes mortuaires. «Il y a des personnes qui collectionnent les cartes mortuaires et c'est un autre élément à ajouter pour la collecte de données», explique monsieur Boucher. L'organisme est à la recherche de bénévoles pour soutenir ce projet. Pour plus d'informations, on peut rejoindre Généalogie Abitibi-Témiscamingue en consultant son site internet qui a reçu, à ce jour, plus de 45 000 visiteurs.


www.journalmalartic.com
11 * LE P'TiT Journal de Malartic * Le 15 août 2012



Le Citoyen, le 11 septembre 2005

Les planteurs d'arbres ... généalogiques

La Société de généalogie de Rouyn-Noranda fête ses 10 ans

(P. Rodrigue) La Société de généalogie de Rouyn-Noranda (SGRN) fête cette année ses 10 ans d'existence. Si au départ ce loisir était surtout réservé à des spécialistes, de plus en plus de gens s'y consacrent.

«Cette année, nous comptons une cinquantaine de personnes dans nos rangs, mais plusieurs personnes font des recherches généalogiques sans être membres. En fait, avec le vieillissement de la population, c'est de plus en plus populaire. Les gens veulent connaître leurs racines, leur passé. C'est un bel héritage à laisser à ses descendants», indique le secrétaire-trésorier de la SGRN, Roger Charron.

La généalogie n'intéresse toute fois pas que les personnes âgées. «Plusieurs écoles primaires font des visites guidées aux Archives nationales, où nous avons nos locaux, et il faut voir l'émerveillement dans les yeux des enfants quand ils commencent à remonter le long de leur arbre généalogique», fait valoir M. Charron.

Pas compliqué

Contrairement à la croyance populaire, la généalogie ne demande pas de, recherches trop compliquées. A la base, il suffit de consulter les répertoires de naissances, de mariages et de décès et de remonter le temps. Il arrive cependant qu'on tombe sur des cas spéciaux.

«Par exemple, si une veuve avait des enfants avec un autre homme après le décès de son mari, ces derniers devaient porter le nom du défunt parce que, en théorie, elle demeurait quand même mariée avec lui. Il était donc le père légal même s'il était mort!», raconte Roger Charron.

Projet d'envergure

Si l'on peut faire de la généalogie en solitaire, être membre d'une société comporte ses avantages. «A Rouyn-Noranda, ça ne paraît pas tellement puisqu'on accueille les Archives nationales. Mais dans les autres villes, ça nous permet d'avoir plus facilement accès aux divers registres», explique M. Charron.

Les sociétés de généalogie font aussi des travaux plus étoffés. «Comme c'est là, notre ancien président, Michel Boucher, a entrepris il y a quelques années d'établir, à l'aide des journaux de l'époque, toutes les lignées de la région depuis les années 1930. La compilation est terminée, mais il reste à tout informatiser et à garder les données à jour», mentionne Roger Charron.



Roger Charron invite les curieux à devenir membres de la SGRN
en se rendant simplement au bureau des Archives nationales,
sur la rue du Terminus. photo Patrick Rodrigue



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